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Vadrouille asiatique

1 avril 2013

Bye bye India, Welcome Nepal!!!

 

Et oui, l'Inde c'est fini...

Nous avons fait nos adieux a ce beau pays, que nous aurons traverse de long en large durant 5 mois.

Une larme a l'oeil nous avons marche la riviere qui nous separait du Nepal, et fait nos premiers pas dans ce nouveau pays, probablement le dernier de ce voyage..

L'inde nous aura offert un joli au revoir. Notre dernier jour coincidait par pur hasard avec la fete sacree de Holi, le nouvel an indien, ou les rues se remplissent de gens qui se jettent des couleurs dans une ambiance festive.

Juste arrive au Nepal nous attaquons les preparatifs pour le trek des Annapurna que nous attaquons demain!!! L'appel des montagnes aura ete trop fort, la periode de repos que nous avions prevu est passee a la trappe.

Donc voila nous ne donneront nomalement pas trop de news (certain diront que de toute facon le blog n'est plus tout a fait a jour...) dans les prochains jours.

Nous aurons une petite pensee pour vous face aux Himalaya.

J'espere que vous allez bien

Je vous embrasse

Tom

 

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11 mars 2013

Au pays du Yoga

Hey hey,

 Comment allez vous?  Et oui février et mars ne sont pas les mois les plus doux en France mais le printemps arrive doucement...

Allez... nous aussi nous migrons pour le printemps du Nepal a Paris!! C'est Officiel, nous arrivons le 18 mai a la capitale...inch'allah!

Ah... croyez moi ca fait bizare de vous annoncer cette date de retour.

 

C'est parti! A la recherche d'un chouette lieu en France... Trouver un merveilleux boulot et un petit coin de nature pour se poser ... Disons que le voyage continue mais un peu plus pres de vous.

 

Mais alors, ces 2 derniers mois de voyage?

En ce moment nous faisons du YOGA! De l'Hatha Yoga exactement. Et oui Inde oblige, nous nous mettons au gout du jour.

 

Nous avons trouve une école qui nous initie aux secrets des chakras...

 

 

Des canaux d'energie parcourent notre corps et leur points de jonctions sont les chakras.

En positionnant notre corps d'une certaine manière, en faisant de l'Hatha Yoga, nous ressentons ces pôles d'energies s'irriguer. Ça donne quelque chose comme ça...

 

Asanas Hatha Yoga

 

 

Voila, comme vous pouvez le voir, après la méditation, nous continuons notre parcours de jeune élève spirituel avec le Yoga. L'Inde est vraiment un terrain d'apprentissage idéal. Il y a des bonnes écoles pour la pratique et des possibilités d'aller écouter des ''sages''.

Nous expérimentons notre corps et notre être comme jamais. Nous comprenons chaque jour un peu plus pourquoi tant d'Hommes, et notamment ici en inde, consacrent tant de temps a leur religion ou a leur pratiques spirituelles. 

 

Tom, comme d'hab, est a fond et passe la plupart de son temps, entre deux cours, a la librairie pour dégotter les meilleurs bouquins sur "comment faire du yoga en dormant'' ou a la boulangerie pour goûter et regoûter les croissants ''indiens''. Tandis que je fais le tour de la ville pour trouver de l'huile d'amande ''organique'' et une fille qui veut bien être mon cobaye pour un massage ayurvedique. Bref, nous nous amusons.

 

Dans 15 jours, nous allons au Nepal. 

Et je n'en sais pas plus pour l'instant....

 

Au plaisir de vous retrouver vite, très vite cette fois...

Je vous embrasse fort 

 

 Caroline

 

 

 

 

 

16 février 2013

KUMBH MELA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

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La marche

1h du matin, la petite troupe se met en marche. On vient d'apprendre avec Pierre que le grand bain, la raison principale de notre presence en ce lieu si singulier, aura lieu cette nuit au alentours de 3h. La journee a deja ete longues, une dizaine d'heures de marche dans les pattes a parcourir en longueur le lieu de cet immense festival. A peine aurons nous somnoler une petite heure qu'il faut deja se remettre en route. Depuis notre retour au camp une brume  fantomatique a tout recouvert. L'ambiance est surrealiste. Nous avons environ 2h de marche devant nous pour atteindre le Sangham, le lieu sacre ou se rejoignent les 2 rivieres indiennes les plus veneres, le Gange et la Yamuna. Pour le courage la troupe s'arrete pour un petit chai. La nuit est vraiment fraiche, je me blotti dans ma couverture acheter une centaine de roupies qiuelques jours auparavant. Istok, notre ami yougoslave rencontre en Mongolie mene la marche, avec l'assurance que nous lui connaissons. Caro est reste dormir, extenuee et peu rassuree face a l'evenement qui se dessine. On attends du monde, beaucoup de monde. Les premieres rumeurs circulent, 40 millions de personnes devraient normalement venir se baigner dans le Gange en cette journee du 10 fevrier 2013. Ce festival, le plus grand pelerinage de la terre, a lieu une fois tous les 12 ans au moment ou  les eaux se transforment en amrita, le nectar de l'immortalite. Nous avancons vers l'inconnue, completement depasse par l'ampleur de la mela et incapable d'imaginer le deroulement des prochains evenements. La brume ajoute a notre desarroi. Les kilometres defilent, nous passons bientot le premier pont. Nous commencons a sentir la foule, et devons batayer pour nous frayer un chemin vers la plage principale. 

 

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La foule

Istok repere vite une barriere derriere lequel nous sommes quelque peu separe de la foule. Un premier coup d'oeil nous permet de realiser un simple constat: "il y a du monde, beaucoup de monde". Pierre sort son carnet et commence a noter. Istok assure le spectacle et sympatise avec les policiers poste devant nous. Il faut maintenant essayer de comprendre. Que va-t-il se passer et ou? Il est dur d'imaginer que la foule entiere situe devant nous va se baigner en ce petit matin du 10 fevrier. Nous essayons de glaner des informations. Come toujours en Inde nous obtenons autant de reponses differentes que de questions posees. Il nous semble quand meme que nous sommes au bon endroit, suffisamment pres pour voir et suffisamment loin pour ne pas se faire emporter. Les gens qui passent a proximite de nous parraissent desorientes, depasse eux aussi par l'ampleur demesure de ce moment sacre. Les regards sont hagards, effrayes, les gens se deplacent continuellement dans des directions que nous ne pouvons comprendre. La foule pousse, bouscoule, crie, s'exclame. Un vieille dame se fait ecrase ici, un enfant pleure la bas. La cohue est terrifiante. Il est facile en ce moment d'imaginer la puissance d'une telle quantite de monde reunis en un si petit lieu. Nous sommes finalement deloges par des forces policieres feminine de notre abri de papier et finissons nous aussi au beau milieu des pelerins. Il est dur d'imaginer dans ces visages apeures l'aspect solennel du moment. Le bain dans le Gange qui permet l'immortalite de l'ame n'est qu'a une poignee de metres mais les gens semblent perdus. Cela fait bientot 2h que nous sommes la, il faut que quelque chose se passe, n'importe quoi mais quelque chose.

 

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Le bain

La police ouvre une breche face a nous. La plage qui nous fait face est vide par la force, se qui ajoute encore a la cohue. Mais bientot le bain commence. Les premieres salves de sadhus, menes par les naga babas nues et recouvert de cendres, se ruent vers les eaux sacrees. Nous profitons de la cohue pour echapper aux policiers devant nous et nous diriger vers la fameuse plage. Pierre munis de son carnet et moi appareil photo en bandouilliere passons pour un couple de jeunes journalistes et pouvons nous faufiler aisement. Une fois sur la plage nous assistons enfin au grand desordre. Des miliers de babas qui deboulent dans l'anarchie la plus complete et se jettent a l'eau, des policiers qui usent du bambou pour se faire respecter et degager des espaces. les baigneurs crient, gesticulent, dansent. Les visages sont emerveilles, rieurs, heureux. La joie regne en maitre sur la Mela. Ce spectacle amene un agreable soulagement apres la tension de l'attente. Je tente de me rapprocher de l'eau afin de saisir ses visages lors du contact avec l'eau sacree. La foule est dense. Je me faufile. Quelques naga babas sont entrain de faire le show, brandissant tridents et epees, et hurlant face aux journalistes. La scene est assez comique, comme toujours en Inde le profane se mele au sacre dans un desordre attachant. Je m'approche encore un peu, par gourmandise, lorsque un nouveau bruit attire mon attention juste derriere moi. Je me retourne et fais brusquement face a une nouvelle salve de babas, qui se ruent dans la foule. Le choc est inevitable... Je me retrouve instantanement moi aussi au milieu des baigneurs, dans le Gange sacree, eau jusqu'au genous. Je ne m'etais pas encore decide pour une baignade ou non, quelque peu effraye par la pollution du Gange, mais la destinee aura choisi pour moi... a moi l'immortalite... Appareil photo a bout de bras je rejoins la berge et m'extirpe de ce capharnaum tant bien que mal. De retour sur la plage je regarde les babas faire les beaux. Sur les plages tout autour des millions de gens se baignent. Les Saris multicolores sont mis a secher par leur proprietaires, les gens remplissent des bouteilles d'eau du Gange a ramener dans leur contrees...

 

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La fete

Je me decide enfin a rentrer. La nuit aura ete longue et le chemin du retour le sera d'autant plus. Je passe par le quartier des babas, partage quelques shilom (pipe) avec des nagas, et me dirige vers mon Rainbow camp bien tranquille. Mais le festival lui aussi a ete prit d'assaut. Les sadhus et gourous defile sur des chars au quatre coin de la ville, la foule est dense et danse, dans une allure de carnaval demesuree. Plus besoin d'aller jusqu'a Glastonbury ni au Burning man, j'ai vu la Maha Kumbha Mela...

 

Tom

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Naga babas

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13 février 2013

Il est 23h36. Un énorme bruit de moteur retentit.

Il est 23h36. Un énorme bruit de moteur retentit.

Le singe qui posait ses deux pattes arrière contre les barreaux de la fenêtre pour s'y endormir, sursaute et se fait la valise.

Des vibrations réveillent la vielle couverture endormie et Thomas,  qui sort le nez de son duvet.

Nous nous regardons.

 

Je décolle les écouteurs de mes oreilles et ouvre les volets de bois qui donnent sur la rue. Face a moi, sur chaque balcon, des jeunes tirent sur de grosses ficelles en hurlant. Une grande toile se dresse sous la pluie.

Le son de moteur est de plus en plus terrible. Il est aussitôt suivi par le rythme d'un vieux tube bollywoodien tonitruant.

Mais je ne comprends toujours pas pourquoi...cette toile retient tout le mystère.

 

Je descends a toute vitesse, glissant sur les escaliers mouillées. Le proprio est allongé par terre, dans le couloir, sous des milliers de couvertures. Il me tend une grande clé qu'il sort de son oreiller. J'ouvre la porte.

Et voila qu'a ma gauche, une immense poupée joue de la lyre.

Elle porte un rouge a lèvre si rouge, des guirlandes de fleurs fanées entassées sur son cou, une énorme couronne dorée sur sa tête blanche. Un signe en plastique tente de dormir a ses cotes.

Elle me sourit figée, comme les quatre indiens qui se sont poses a ses pieds, un dvd poussiéreux entre les doigts du premier.

Je fronce mes sourcils en les regardant.

" Festival! Festival M'am"

 

 

Mais oui !!! Un festival de 3 jours a Varanasi dédiée a Saraswati, déesse de la connaissance, de la musique, des arts et de la culture...

Nous sommes chanceux, Saraswati s'est posee sous nos fenêtres pour écouter, avec nous, pendant 48h les plus grands tubes indiens. Avec son plus beau sourire, elle tente de les accompagner de sa lyre silencieuse pour peut être danser un peu... avant de plonger dans les eaux froides du Gange.

 

 

Je suis décidément toujours aussi fan de l'Inde et de ses petites surprises au detour de chaque rue. Pour que chacune de mes petites colères ou des mes grandes interrogations se transforment en histoire... ou en leçons. Pour que ce voyage devienne un grand jeu. Pour que nous autres, petits humains, chaque jour, puissions faire vibrer ce grand cirque.

Pour les Dieux puissent y venir danser et jouer un peu de musique... 

Et se mêlent aux touristes ébahis, aux habitants rieurs, voyageurs en dilettante, pèlerins concentres,  vaches très sacrées, singes sautant, grands mères sans dents, chiens mouilles et enfants au cerfs volants.... 

 

Alors Joyeux Saraswati Festival...

Je vous embrasse fort,

Caroline

 

 

 

1 février 2013

Hampi le retour

 

Bonjour a tous,

apres le rythme intensif de ces derniers temps je suis de retour a Hampi pour grimper et pour profiter du lieu...

Voila maintenant 10 jours que j'habite dans un tipi et passe mon temps entre l'escalade, le yoga, la musique et les soirees.

Je poste quelque photos.

Et demain c'est le depart pour se rendre au plus grand festival du monde, le Kumbh Mela!!!!!

J'espere que vous allez bien

 

Thomas

 

Hampi

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Grimpe

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Grimpeurs locaux

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L'equipe du tipi

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18 janvier 2013

Quand les parents de Caro debarquent ....

Salut!

Et oui, nous revenons très vite vers vous pour présenter les toutes dernières nouvelles... les 15 jours de voyage avec mes parents!

En ce début d'annee, nous avons commencer fort !

Bob et Christiane retombent dans la folie de leur jeunesse, sac aux dos et plus motives que jamais en quête de sensations fortes, avec leur fille et son plus fidèle compagnon de route.

 

 

Et quelles surprises! Nos retrouvailles, a Madras, vibraient aux notes de la première danse d'une longue série  : Le bharata natyam

Une forme de danse classique indienne originaire du sud de l'Inde (bharatanatyam signifie "danse musique théâtre" mais ce mot réunissant les trois n'a pas d'equivalent en français). C'est l'une des plus anciennes danses indiennes.

Des le lendemain, nous partons pour Mahabalipuram, méditer au coeur de son site archéologique et s'unir aux pèlerins qui viennent s'y baigner après leurs prières...

Vous pouvez noter la souplesse de mon père, qui commençait son apprentissage de la méditation. Vous imaginez que j'ai essaye de les former.

 

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 Voici les bains groupes de pèlerins. Les femmes habillées se trempent simplement jusqu'au mollet pendant que les hommes, ne sachant pas toujours nager, ne s'aventurent jamais très loin...

 

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Voici des Mandalas (mot sanskrit signifiant ''Cercle, centre, unité, totalité''. C'est un dessin circulaire qui représente le ''Divin'', sa manifestation, sa création).

Avec du sable de couleurs, les familles le dessinent devant la porte d'entree pour attirer les bonnes graces et le balayent ensuite pour souligner le cote éphémère des choses !

 

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Le soir, nous étions aux premières loges du festival de danse carnatique (= du sud de l'inde) de la ville. J'ai beaucoup aime voir ses femmes danser, c'est hypnotisant!

 

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Et puis direction Pondichery, ancienne ville coloniale française et ville d'enfance de mon amie Savitri !

 (Elle devient capitale pour le commerce colonial français en 1720)

Le festival de Yoga nous y attend ... Thomas a pu admirer la dextérité des indiens en matière de souplesse...

Mes parents font leurs premiers pas dans un ashram ( ASHRAM Sri aurobindo) et nous profitons des joies culinaires de la ville et de balades dans ses jolies rues. L'ambiance est particulièrement... douce!

 

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(Je laisse la plume a Tom maintenant)

Après Pondicherry, nous partons explorer Madurai et son majestueux temple.

Ce temple étant un haut lieu de pèlerinage hindouiste dédie au dieux Shiva et Parvati. Il est facile de passer des heures a regarder les pèlerins venues s'y recueillir. Des milliers d'hommes pour la plupart, torses nus et vêtus d'une jupe noire, au charisme magnétique, sillonnent le pays de lieux sacres en lieux sacres.

 

 

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Une série photo de ces fameux pèlerins...

 

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Nous voila, Bob Chris Caro et moi, au milieu des plantations de thé de Munnar.

Vite installes dans un ancien club de golf de la haute société anglaise (trophées de chasse en tout genre, salle de squash et personnel tire a quatre épingles...notre guest house habituelle quoi... ), nous partons découvrir les alentours...

Les longues ballades entre les plantations se révèlent particulièrement réussies : entre la poésie du paysage, ''les ramasseuses'' de thé au milieu de leur dur labeur et les explications de Bob en Chris en bon professionnels de la boisson chaude (ancien proprio d'un salon de thé, rappelons le).  

 

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Notre périple se finit avec la ville de Cochin, en bord de mer.

Ambiance touristique quelque peu rebutante aux premiers abords mais qui cache une multitude de petites choses a faire et a voir. Danse Kathakali, filets de pêches chinois, concerts de musique traditionnelle, exposition d'art contemporain et bien d'autres ....

Mais il est bientôt temps de se séparer, les deux couples continuent leurs chemins de leur cote.

 

 

Alors un grand merci a Bob et Christiane pour ces deux très belles semaines, pour leur générosité et pour l'ambiance (parfois électrique)! 

Je leur souhaite une bonne fin de voyage et a la prochaine (peut etre plus tot que prevu, je pars pour Hampi demain normalement...)!  

Tom

 

Merci a mes parents pour ce beau voyage, 12 ans après le dernier passe ensemble ! On s'en est tous bien sorti !! ...Ahhh je me souviendrai de la gastronomie indienne (!!!) et de ses perles hôtelières (merci Papa) !  Merci a Maman pour ses performances en matière de logistique humanitaire... ("Je ne lave pas, je donne") et papa pour sa persévérance spirituelle (Do you have Gandhiji statue ?????) . Ahhhh, vous nous avez bien fait rire et vous nous avez fait chanter! A quand le prochain voyage ?

Caro


 

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Danse Kathakali

Le kathakali (de katha histoire et kali, jeu, en malayâlam) est une forme de théâtre dansé originaire de l'État du Kerala dans le Sud de l'Inde. C'est une combinaison spectaculaire de drame, de danse, de musique et de rituel. Les personnages, aux maquillages élaborés et aux costumes raffinés reconstituent des épisodes tirés des épopées hindoues, le Mahâbhârata, le Rāmāyana et de la vie de Krishna. Les formes et les couleurs du maquillage sont toutes codées, selon l'interprétation du personnage représenté sur scène

 

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Et nous voila au milieu du festival d'art contemporain de Fort Cochin...

 

 

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 Et pour le final BONUS, une petite vidéo intitulée... Les musiciens nés ou la Famille Vilmot compose

Dédicace a mon frère qui aurait été le bienvenue avec son piano électrique et a ma grand mère paternelle, fille de grande famille circassienne...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3 janvier 2013

India la suite

 

Commençons par vous souhaiter la Bonne Année!!!

Toutes nos excuses pour ce message tardif ! Ces derniers temps, nous voyageons a plusieurs, a une autre vitesse , ce qui perturbe l'ecriture de notre journal de bord...

 

Avant de reprendre le récit de nos aventures, j'aimerai parler de ce qui se passe en Inde en ce moment.

Le pays est en deuil, comme vous en avez sûrement entendu parler, suite a la mort d'une jeune femme après avoir subie un viol a New Delhi. Des manifestations s'organisent dans tous le pays pour demander a l'Etat de réagir, a la police de mieux prendre en considération les plaintes déposées par les femmes. Les victimes de viol se heurtent souvent à l'indifférence de la police et de la justice, quand elles ne sont pas jugées responsables de leur sort. 

 

La semaine dernière, nous étions mes parents, Tom et moi, a Madurai (Tamil Nadu, Sud de l'Inde) au musée mémorial de Gandhi et nous avons participe a une de ces manifestations. Hommes et femmes étaient réunis pour déposer bougies et gerbes de fleurs et se recueillir. Autant vous dire que c'etait émouvant.

 

Alors je profite de l'espace qu'offre ce blog pour en parler et faire le voeux pour cette nouvelle année 2013 de respect et d'amour entre nous, chers humains. Je pense fort a ces femmes indiennes et a toutes les femmes du monde.

 

Et comme le dit le mantra suivant  :

'' Que tous les êtres puissent être heureux, que tous les êtres puissent trouver le bonheur "

 

 

Inde: ce que le viol révèle de la condition des femmes

NEW DELHI (Inde) REUTERS/Amit Dave

 

Pour mieux comprendre la situation, voici un article que je trouve intéressant de l'historien et indianiste Michel Angot.

"La société indienne paie très cher la modernisation à marche forcée" :

  • " L'urbanisation et l'affaiblissement de la notion de communauté et de culture  jourait un rôle important dans la montée des crimes contre les femmes.  

La "modernité" passe par la destruction des liens qui, jusque là, fédéraient les hommes et permettaient de limiter, sinon de résoudre, les conflits.

 Jusqu'à présent encore, dans les campagnes, un contrôle social très fort s'exerce au sein de chaque communauté, de chaque caste; il s'agit d'un contrôle collectif, la notion d'individualité étant quasiment absente des sociétés traditionnelles.

Aujourd'hui, à cause d'une modernisation mal ou pas contrôlée, les communautés villageoises envoient certains de leurs membres, les meilleurs parfois, et aussi les pires, dans les villes pour y chercher du travail ou se débarrasser d'eux.

Là, le contrôle traditionnel se relâche et il n'est pas encore remplacé par un contrôle de l'État. Cela entraîne une grande violence qui s'exerce sur tous, les hommes comme les femmes, mais plus encore sur ces dernières.

 

  • La dévalorisation des femmes, ancienne, s'est fortement accrue depuis quelque cent ans, spécialement dans le nord. 

La question du féminin est pleine d'ambiguïté dans le sous-continent. Les notions de féminité et de virilité y sont très prégnantes: chaque sexe a son rôle, son identité, porte des signes distinctifs.

Mais tandis qu'une très ancienne dévalorisation du féminin se perpétue, l'Inde a aussi un problème quant à l'image de la virilité.

Dans l'histoire, les musulmans ont longtemps eu le monopole de la virilité dans l'imaginaire de la population. Ce sont eux qui se sont battus contre le colonisateur anglais. L'élite militaire, les maharadjas hindous sont d'ailleurs considérés comme des collaborateurs de l'empire britannique par les nationalistes comme Nehru.  

La place des femmes dans les hautes castes n'en est que plus paradoxale.

La perte du rôle guerrier des hommes a abouti à une redéfinition de la place des femmes qui a pris plusieurs aspects. Cela a donné naissance, à la fin du 18e siècle, au phénomène des satis, ces veuves brûlées à la mort de leur mari. A l'origine, ce phénomène apparaît après les défaites militaires contre les troupes musulmanes. Pour éviter de tomber aux mains des vainqueurs, les femmes se suicident. Elles rachètent, par la même occasion, les défaites militaires de leurs maris. Cette pratique n'est au départ encouragée et valorisée que dans les castes guerrières. 

Parallèlement, certaines femmes des hautes castes prennent la place de leurs maris quand ceux-ci viennent à disparaître. C'est le cas de Lakshmibai, la " Jeanne d'Arc indienne ", qui participe à la révolte des Cipayes contre les Britanniques en 1857, et en prend la tête parce que son mari est mort. Elle meurt sabre au clair en 1858. Le rôle d'une Indira Ganghi, la fille du héros de l'indépendance Nehru, qui prend la direction du parti du Congrès puis du pays à la mort de son père et d'un certain nombre de dirigeantes politiques dans plusieurs États indiens en est une autre illustration. 

Mais ces situations exceptionnelles ne peuvent cacher la forte dévalorisation des femmes, qui s'aggrave depuis deux siècles. Depuis quelques décennies, la femme n'est plus appréciée que lorsqu'elle peut donner naissance à des enfants mâles. Il s'agit d'une tendance qu'on observe particulièrement dans l'Inde du nord-ouest, dont Delhi. L'élimination des enfants de sexe féminin, renforcé par la pratique de l'avortement en est l'un des symptômes. Par le passé, on ne faisait pas disparaître les petites filles comme on le fait aujourd'hui. On parle même de "sexocide" car des millions de femmes manquent à l'appel. Outre la dévalorisation des filles, la pratique de la dot -toujours en vigueur bien qu'elle si soit officiellement interdite depuis 1961 (encore un témoignage de la faiblesse de l'État qui n'est pas capable d'appliquer la loi)- fait de la venue au monde d'une fille un fardeau financier pour les familles.

 

  • Le rapide développement économique de l'Inde a en effet créé une classe moyenne, qui s'est emparée des leviers du pouvoir sur le plan politique et social.

Ces "castes moyennes", qui se sont élevées collectivement, ne veulent plus baisser la tête. Elles ne supportent plus les exactions dont les, leurs femmes notamment, sont victimes. ce serait différent s'il s'agissait d'une femme de basse caste. Il y a trente ans, un fait divers identique n'aurait pas suscité une telle réaction. Les protestations ont d'ailleurs fait tâche d'huile au delà même de la classe moyenne. De nombreux témoignages montrent l'extraordinaire dureté de ces classes moyennes urbanisées, dures envers les faibles, envers les exclus, envers les femmes des autres. Derrière une certaine unanimité que l'on prend pour du féminisme universel, il y a aussi le fait que cette nouvelle société, où l'individualisme et la recherche du profit se sont développés, veut se faire entendre et se tourne vers des institutions dorénavant étatiques.  

Le retentissement de cette affaire constitue un électrochoc pour le pays.

L'idéologie moralisatrice post-gandhienne avait amené l'Inde à s'ériger en leader spirituel du monde. Un tel scandale ébranle cette image moralisatrice et interroge l'identité de toute la société indienne."

(voire  http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/viol-collectif-en-inde-la-societe-indienne-paie-tres-cher-la-mod)

 

 

 

 

 

Au dernier message, nous évoquions Noël passe avec Milena, Nicolas et Benjamin...

Mile et Nico débarquaient pour 3 semaines de voyage et nous retrouvaient au coin d'un bistrot de Bombay pour tester leur premiers jus frais.

Nico nous a fait bien rire des ses premiers pas a Bombay. Ils portaient, heureux, de nouvelles chaussures, aux couleurs du pays (sans s'en rendre compte). Un policier l'arrete lui expliquant que des indiens dans la rue se plaignaient d'un tel outrage et lui demande de les enlever sur le champs. Pieds nus, bredouille, il a du s'acheter un paire de tongues...

 

Après une petite baignade sur la cote ouest, dans la mer d'Arabie, nous décidons de visiter Hampi... le paradis et grimpeurs et des singes. Nous goûtons au lac, au Tchais et au plaisir de la mobylette entre deux visites des temples sacrées. Milena a fait ses premiers pas de motarde en ces lieux sacres...

 

Nous retrouvons également Benjamin et passons nos derniers jours avec Myrjam.

Nous étions heureux de partager ces moments et nous retrouver ensemble au bout du monde...

Tom a fait aussi des siennes. Ni une ni deux, il nous a fait quelques galipettes sur les énormes cailloux avant de se casser le bout du nez... Ce qui lui a valu quelques jours de repos allonges... pouvant ainsi méditer sur le monde et ses paradoxes.

 

 

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 Nous décidons ensuite de fêter Noël a la mer et découvrir l'intimite des canaux d'Allepey entoures de villages. Antti, un finlandais faisait parti de l'equipe.

Milena, Myrjam et Nicolas s'envolaient pour la France.

Merci a vous pour ces belles vacances

 


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Maintenant, je vous laisse au bras de Tom, qui prend la suite des aventures,

Je vous embrasse fort

Caroline

 

 

 

Nous attaquons ensuite avec Ben la tournee des grands lieu de pèlerinage du Sud de l'Inde (que l'on est actuellement entrain de continuer...) par la pointe extrême sud du pays, point de rencontre de la mer d'arabie le du golfe du Bengale et l'ocean indien, Kunyakumari.

Les pèlerins s'y rejoignent en masse et défilent dans un petit temple. On découvre l'ambiance des pèlerinages, les nombreux groupes d'hommes vêtus de noir qui parcourent le sud de l'Inde de temple sacré en temple sacré.

Les gens sont très beaux, et nous prenons petit a petit mieux conscience de la place de la religion dans ce pays si particulier, auquel nous nous commençons a nous attacher très fortement.

 

 

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Le groupe reduit desormais a 3 decida ensuite qu'il etait temps de s'initier aux ashrams (lieu de pratique spirituelle en Inde).

Afin de commencer proprement, le choix se porta sur Amritapuri, 'l'enorme' ashram de l'une des seule femme gurus en Inde.

Une mini ville ou 5000 personnes vivents en communaute, reuni autour d'Amma, femme considere comme un dieu par nombreux de ses devots, et dont la particularite est d'embrasser toutes les personnes qui le souhaitent.

 

 

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La scene est emouvante, des miliers de personnes venus des quatre coins du monde se suivent afin de pouvoir recolter l'embrassade tant attendue. Les yeux brillents, les indiens sont venus de très loin pour la voir, dans l'espoir d'une benediction, d'une guerison ou juste d'etreindre une personne aussi sacrée. Certains defaillent, d'autres pleurent ouvertement, leurs devouement est impressionant. 

Elle, prends le temps de dire a chacun un mot, de les etreindre, de leur murmurer a l'oreille. Nous avons nous aussi le droit a l'embrassade, et je dois reconnaitre une energie puissante et apaisante emanant de cette femme qui consacre sa vie a aider les autres.

Les rencontres a l'ashram sont atypique, entre les touristes comme nous venus voir de quoi il en retourne et les adeptes qui on tout quitter pour suivre cette femme jusqu'au bout du monde. Le soir Amma chante, entouree de talentueux musicien, des bhajans, qui resonnent encore dans nos oreilles.

Mais bientot il est temps de repartir, de dire un au revoir a Ben et un grand merci pour l'aide qu'il m a apporte pour traverser l"inde sur des bequilles, et de lui souhaiter bonne fin de voyage, car Bob et Chris (les parents de Caro) arrivent...

 

Tom

 

 

 

Et pour finir,

une serie de photographies de femmes,

pelerines qui se reunissent, a la pointe de l'Inde, jonction des 3 oceans...

 

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25 décembre 2012

Noel

 

Le pere Noel cette annee a ete plutot chouette.

Pour nous consoler d'etre loin de nos familles, il a fait le chemin du grand froid vers la chaleur humide du Kerala pour nous offrir un gros colis. Un enorme colis.

D'une baguette magique, il transformait le palmier en arbre de Noel, les bouteilles de plastique en bougies, le papier plie en etoile illuminee et le toit d'une simple guest house en colline d'ou l'on pouvait observer la mer.


Au milieu des jeunes hotes indiennes qui pratiquaient l'autogestion, notre precieux colis se deballaient...

Milena, Nicolas, Benjamin et Antti (un cousin finlandais de Mere Noel) se trouvaient la, en Inde, dans la petite ville d'Aleppey pour vivre ces fetes de Noel avec nous...

Merci Pere Noel, et Joyeux Noel a tous....

 

 

 

 

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7 décembre 2012

India

 

Et tout de suite... la suite, la suite... mes chers

 

 

Venez voir Jaisalmer...

 

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Après avoir été rejoints par nos deux charmants compagnons, nous faisons route en direction de la belle Jaisalmer, petite ville au milieu du désert, construite autour d'un impressionnant château.

Nous nous installons dans une guesthouse du suscite château et attelons a notre premiere mission: '' spectacle de rue '' avec une famille de funambule installee dans la ville!

Au programme mes amis : slackline improvisee, musique pour aider a attirer les multiples passants et creation d'une superbe pancarte pour les amener a offrir quelques roupies...

Notre petite troupe s'entraine dur pour sa future carriere musicale avec repetitions intensives en soirée sur les toits.

Nous rencontrons ensuite un riche indien... qui nous invite a son anniversaire ou Caro et Maud auront le droit a meler leurs pas a ceux d'une danseuse rajasthanaise et Hugo et moi a chanter quelques chansons sous une pluie de billets lancee par notre nouvel riche ami (un peu glauque mais traditionnel...).

Nous aurons aussi la chance d'etre invite a un grand mariage, d'assister a la ceremonie, dans l'intimite de la maison de l'epouse, et d'etre saisi par la solennite du moment et la tristesse visible dans les yeux de cette femme (dechiree par le fait de quitter le cocon familial nous expliquera-t-on).

 

 

Dans les airs...

 

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... Ou sur un tournage !

 

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La petite troupe met ensuite le cap pour le desert aride ou elle y passera 3 jours, a marcher aux cotes des hauts chameaux, a etre cajoler par nos guides, a partager leurs chants autour du feu et a apprecier la quietude et la beaute du lieu. Le groupe se fait a la vie du desert, au faconnage des chapatis et au port du turban...  

 

 

Desert et chapatis

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Udaipur

Retour a l'agitation citadine avec notre installation dans la jolie ville d"Udaipur.

Cette cite, situee au bord d'un lac et connue pour le Octopussy de James Bond nous accueille avec la blancheur de ses rues, ses palais flottants, ses cours de peinture (les fameuses miniatures)  et de yoga.

Entre grande balade a velo et nourriture de rue aux milles epices, nous occupons notre temps a prendre le rythme de la vie indienne, a apprecier toutes les rencontres qu'elle nous apporte. L'inde avec la diversite de ses habitants, et sa culture fascinante, melange de tradition, religion et philosophie de vie, nous donne l'envie d'en voir toujours d'avantage.

"In India, Anything is Possible."

 

En esperant que vous allez bien,

Tom

Quand l'eau se mele a la ville

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Balade a velo et rencontre

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2 décembre 2012

Les retrouvailles

Nos tetes sont sur le fameux carnet de voyage, ca y est nous y sommes avec nos amis retrouves! Le Taj Mahal comme lieu de rencard, qui dit mieux?

Ils ont les yeux qui brillent, des horizons plein la tete, et le plaisir de partager leur aventure asiatique!

Meditation, yoga, mots croises et quelques yaourts engloutis, voila leur recette, pour une bonne humeur et une belle entente apres 7 mois de voyage ensemble!

Un grand bravo a nos deux tetes brunes!

HUGO et MAUD

 

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Je suis heureuse de vous ecrire ce petit mot, mais je ne vous garantie pas la constance implacable dans l ecriture de nouvelles, dont a su faire preuve nos deux amis genereux de partage!

MAUD

 

 

 

 

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